Fort de son rôle clé dans les Jeux Olympiques de Paris 2024, Suadeo se fait une place de choix dans la supervision de grandes opérations et la coordination à grande échelle. Son Hub Numérique et ses applications métiers sont des accélérateurs de taille pour les nouvelles stratégies de pilotage au sens large : sécuritaire, logistique, environnemental… Capable d’anticiper les menaces en croisant des données temps réel, issues de diverses sources, la solution de Suadeo s’impose comme un modèle d’innovation, après avoir su se différencier de géants comme Athéa et Palantir.
[Extraits de l’article L’Informé, paru le 02/12/2024 : Big Data : « Après le succès de Paris 2024, Suadeo intéresse trois autres pays »]
« Son logiciel « hyperviseur » [paramétrage de sa plateforme de Self Data Services], qui équipe le ministère de l’Intérieur, a joué un rôle important dans la sécurité des Jeux Olympiques.
Après Paris, le monde ? Auréolé du succès sécuritaire des Jeux Olympiques 2024, où aucun incident majeur n’a été déploré, le fabricant de logiciels Suadeo, qui équipe le ministère de l’Intérieur avec son « hyperviseur », veut profiter à plein de cette vitrine pour exploiter sa plateforme. Capable de traiter les données captées sur les réseaux sociaux, dans les médias, mais aussi les réseaux de transport ou d’énergie, et de les croiser aux informations collectées sur le terrain par les forces de sécurité et de défense civile, cette solution permet d’identifier des « signaux faibles » pour anticiper les menaces et y répondre le plus vite possible. Un outil qui, selon nos informations, intéresse trois prospects sérieux à l’étranger.
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Contacté par l’Informé, Suadeo confirme nos informations. « Nous sommes très heureux, consécutivement au succès des JO de Paris, d’échanger avec ces acteurs institutionnels étrangers, intéressés par l’approche que nous avons mise en place avec le ministère de l’Intérieur. », déclare-t-elle.
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Avant Paris 2024 et la coupe du monde de rugby 2023, Suadeo s’était imposée face à Athéa – la co-entreprise d’Atos et Thalès qui développe la plateforme big data du renseignement militaire, Artemis.IA- et l’américain Palantir, jadis utilisé par la DGSI.
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